Reprise de ma réflexion.
Non, dans ce cas là, on ne peut parler d'écoute. Mais même la gentillesse est à questionner - est-ce que ça vaut le coup ?
Parce que du coup je m'interroge, reprenons, je rentre chez elle, souriante et sympa. OK. Mais que veut dire ce sourire ?
Je lui parle, mais pour limiter les discussions stériles, je ne soupire plus, ne ralouille plus, me limite à des informations objectives ou les récits de visites de magasins, ou je parle des films que j'ai vu. J'ai l'impression d'être dans les années 50 et de faire une "visite de dame" où l'on ne parle de rien.
C'est à dire, de rien d'intime, de perso, de rien de ce que l'on pense.
Avec Anne, pendant un temps, j'avais dit ce que je pensais. Et c'est fini car elle n'aime pas ce que je pense.
Mais dire ce que l'on pense est-il un gage de bonne relation ?
Certains jours, quand je lui rend visite, je vide mon esprit, réfléchit bien à ce que je veux dire, et la conversation roule toute seule sur des sujets qui ne fachent pas. Mais dans le salon, autour de la table, buvant notre thé, nous sommes bien.
je ne deviens moins bien que si je pense au sujet dont nous ne parlons pas, mais pourquoi ne puis-je juste l'extraire de mon esprit, ce sujet, faire comme si il ne devait pas être discuté ?
Certes, liée comme moi à cette histoire, Anne pourrait en parler. mais ne le fait pas.
mais si nous supprimons cette histoire, il ne reste entre nous que du superficiel.
Cela veut dire que notre relation n'est que superficielle.
Dois-je alors la supprimer ?????????? (la relation)
Quand j'en arrive là de ma réflexion,je songe à la douceur factice de ces moments, et à leur charme - factice, et je me demande si en me séparant de cette douceur factice, je ne perdrais pas quelque chose.
Alors je continue.
Avec ce petit sentiment de frustration.
Zut !
Non, dans ce cas là, on ne peut parler d'écoute. Mais même la gentillesse est à questionner - est-ce que ça vaut le coup ?
Parce que du coup je m'interroge, reprenons, je rentre chez elle, souriante et sympa. OK. Mais que veut dire ce sourire ?
Je lui parle, mais pour limiter les discussions stériles, je ne soupire plus, ne ralouille plus, me limite à des informations objectives ou les récits de visites de magasins, ou je parle des films que j'ai vu. J'ai l'impression d'être dans les années 50 et de faire une "visite de dame" où l'on ne parle de rien.
C'est à dire, de rien d'intime, de perso, de rien de ce que l'on pense.
Avec Anne, pendant un temps, j'avais dit ce que je pensais. Et c'est fini car elle n'aime pas ce que je pense.
Mais dire ce que l'on pense est-il un gage de bonne relation ?
Certains jours, quand je lui rend visite, je vide mon esprit, réfléchit bien à ce que je veux dire, et la conversation roule toute seule sur des sujets qui ne fachent pas. Mais dans le salon, autour de la table, buvant notre thé, nous sommes bien.
je ne deviens moins bien que si je pense au sujet dont nous ne parlons pas, mais pourquoi ne puis-je juste l'extraire de mon esprit, ce sujet, faire comme si il ne devait pas être discuté ?
Certes, liée comme moi à cette histoire, Anne pourrait en parler. mais ne le fait pas.
mais si nous supprimons cette histoire, il ne reste entre nous que du superficiel.
Cela veut dire que notre relation n'est que superficielle.
Dois-je alors la supprimer ?????????? (la relation)
Quand j'en arrive là de ma réflexion,je songe à la douceur factice de ces moments, et à leur charme - factice, et je me demande si en me séparant de cette douceur factice, je ne perdrais pas quelque chose.
Alors je continue.
Avec ce petit sentiment de frustration.
Zut !
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